Aimer sa famille
"Le Prophète
nous avait adressé
un discours. Après avoir loué Dieu, il nous dit : "Je ne suis qu'un
être humain, bientôt l'Ange de Dieu m'appellera et je répondrai à l'appel.
Mais je vous lègue deux choses grandioses. D'abord, le Livre de Dieu qui
vous éclaire la voie, suivez-le et attachez-vous y. Ensuite ma descendance.
Je vous rappelle Dieu pour que vous vous attachiez à ma famille".
(Mouslim d'après Zayd ibn al Arquam)
Le Prophète
a dit d'Al-Hassan
et Al-Houseyn
, O Allah , je les aime,
ainsi Aimez-les. "Dans la variante Al-Hassan
," O Allah, je l'aime,
aimez donc celui qui l'aime." Il a aussi dit," Quiconque
les aime m'aime. Qui m'aime aime l'Allah. Qui les déteste me déteste.
Qui me déteste déteste Allah." (Al-Boukhari)
Et selon
'Alî , que Dieu l'agrée, le
Prophète
prit une fois la
main d'al-Hasan
et d'al-Housseyn
, mis dit: « Celui qui
m'aime et aime ces deux-là, ainsi que leur père et leur mère, sera au
même degré que moi le Jour du Jugement! » (Rapporté par at- Tirmidhî)
Il a dit de Fatima
, "Elle est une partie de moi. Qui la déteste me déteste." (Al-Boukhari) ou
encore : "qui la courrouce, me courrouce aussi" (Tirmidhi)
Aimer ses compagnons :
Il a dit
à ' A'isha d'Oussama ibn Zayd
, "Aimez-le car
je l'aime." (À - Tirmidhi)
Il a dit, "le signe de la vraie foi est l'amour pour les Ansars et le signe de l'hypocrisie est
la
haine pour eux." (Al-Boukhari et Mouslim)
Hadith : le
Prophète
a dit : "la
Fontaine de Kawthar possède quatre Piliers : un commandé par Abou Bakr,
le deuxième par 'Oumar, le tiers par 'Outhman et le quatrième par Ali (radi
Allahou anhoum)".
- N'insultez pas mes Compagnons! Si l'un de vous, offre en aumône l'équivalent de la montagne
d'Ohod en or, il n'atteint pas ni une poignée ni même une demi-poignée de leur mérite! (Abou
Daoud)
"N'insultez pas mes Compagnons, ne les prenez pas pour cible après moi. Quiconque leur
fait
du mal, c'est à moi qu'il porte atteinte, celui qui me porte atteinte , c'est Dieu qu'il vise
et alors,
il sera promptement châtié."
« Je vous conjure de prendre soin de mes Compagnons et de ne pas les importuner; après ma
mort. Car celui qui les aura aimés m' aura aussi aimé. Et celui qui les aura détestés, m'aura
également détesté. Qui leur aura fait du tort, m'aura fait du tort, et par là même il aura fait du tort
à Dieu. Celui-là, Dieu ne tardera pas à le faire périr» (Ahmad)
"Celui qui parle en bien d'Abou Bakr, sa religion est bien établie; lui qui parle en bien d'Umar,
son chemin religieux a été bien fondé celui qui parle en bien d'Uthman est éclairé avec le Noor
d'Allah Tout-puissant (Sa Lumière)' et celui qui parle bon d'Ali s'accroche à l'anse solide. Ceux
qui parlent en bien de mes Compagnons sont vraiment Croyants". (Shawaa'idul Haqq)
Le musulman
est convaincu qu'Abou Bakr, compagnons du Prophète
, est le meilleur de tous les fidèles. Lui succèdent Omar,
Othman, et Ali, que Dieu soit satisfait d'eux!
Le Prophète
a dit au sujet
d'Abou Bakr :
- S'il m'avait été donné de prendre un Khalil (ç.a.d un ami intime à qui on voue beaucoup de
vénération) j'aurais choisi Abou Bakr. Seulement, il est mon frère et mon compagnon.
(Boukhari)
Du vivant du
Prophète , disait Ibn Oumar , nous
donnions à la préférence à Abou Bakr ensuite à `Oumar , puis a `Outhman
et enfin à `Ali, radiallah 'anhoum . Le Prophète
l'ayant appris, ne nous désapprouva pas. (Boukhari)
Ali lui-même disait: Le meilleur
homme de notre communauté est bien Abou Bakr ; aprés lui vient 'Oumar. Si
je veux, je pourrais citer un troisième méritant, visant par là
'Outhman."
Le Prophète
a dit : "Les
Ançars descendent-ils une vallée, ou suivent-ils un sentier dans
une montagne, que je ferai de même Si ce n'était pas l'hégire, j'aurais
été un des Ançars. Seul un vrai croyant, peut les aimer. Seul
un hypocrite les déteste! (...)"
Aimer son peuple et sa communauté :
Dans un
hadith rapporté par Ibn 'Oumar nous trouvons,
"Quiconque aime les Arabes, les aime parce qu'il m' aime. Qui les
déteste les déteste parce qu'il me déteste." En réalité, qui aime
quelqu'un aime tout ce qu'il aime. C'était certainement le cas des Salafs,
même quant aux choses permises et aux appétits du moi.
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